J.B. - Let me just one more drink to hit the parade

BOSTOCK Jaimie Craig

❯ FEAT : Luke Evans

Carte d'Identitée « Bonjour ! Je m'appelle Jaimie Bostock et l'on me surnomme J.B.. Je suis né le 29 octobre 1978 à New York, ce qui me fait 40 ans. Je suis un Homme. Je suis Hétéro et actuellement Divorcé. Mon principal défaut est d'être impulsif et ma qualité majeure est mon charisme. » ❯ Métier : Agent artistique ❯ Traits Particuliers : J'ai un orteil fracturé et le cloison nasale déplacée ❯ Classe social : Riche ❯ Groupe : Let's work ❯ Recensement: Code: • [color=#ff0000][b]Luke Evans[/b][/color] ♫ Jaimie Bostock Anecdotes Vit avec un Dobermann Pinscher de 4 ans, ce que sa dernière femme a consenti à lui laisser dans le divorce ~ Si l'agence artistique possède un Learjet 35A, Jaimie est quant à lui propriétaire d'un Piper Saratoga II ~ Est amateur de bons spiritueux ~ Fume occasionnellement en soirée ~ A un conscience morale plutôt prononcée malgré les pressions dans son milieu professionnel

ONCE UPON A TIME...

Naître et faire sa vie à New York. Se marier, divorcer et se remarier. En voilà une vie bien typique pour un américain d'Empire State. Pas d'enfant, peut-être ma seule déception après quarante années de vie accomplies sur le plan professionnel .. et un peu moins du côté personnel. Mais ce n'est en rien une entrave à considérer ma vie réussie malgré qu'elle ne me paraisse pas entièrement complète. Des erreurs de casting j'en aurais fait .. tout d'abord avec ma première épouse, Lindsay, sur un coup de tête de jeunesse à Las Vegas. Les sentiments étaient trop faibles pour que nous allions très loin ensemble, mais notre histoire aura tenu quelques années avant de se rendre compte de l'évidence même que notre avenir ne s'écrivait plus l'un avec l'autre. Une période de flottement sur le plan affectif fut rapidement comblé par la rencontre avec Rebecca, journaliste au New York Times et dotée d'une certaine influence sur l'opinion publique. L'union était plus concrète, plus intéressante et fondée. Nous nous complétions, avions besoin l'un de l'autre, peut-être moi beaucoup plus pour qu'elle me débloque des subventions de la part des politiques pour nos activités avec l'agence artistique où j'étais employé comme simple agent du temps où je donnais encore la répartie à certains grands acteurs du cinéma dans plusieurs films. Nous avions nos hauts et nos bas dans notre couple, ce qui n'avait rien d'anormal, jusqu'à ce qu'une petite prétentieuse ne vienne tout faire voler en éclat. Trop sûre d'elle, je ne la sentais pas percer dans le cinéma et lui avais conseillé - comme je le fais pour les profils peu convaincants - de revoir ses bases grâce à des cours de théâtre ou d'improvisation notamment. Mais dans toutes les personnes que l'on reçoit en casting pour dénicher les perles rares dans un environnement de plus de deux millions d'habitants, il y a malheureusement beaucoup de pistes non retenues, et cette peste en faisait partie. Parce que je lui ai refusé gentiment de lui proposer un contrat avec nous, elle a décidé comme cela était dans l'air du temps à la fin de l'année 2017 de porter plainte pour viol, plus d'un an après s'être vue refuser son précieux sésame dans le monde du septième art. Je ne me souvenais même plus de ce à quoi elle pouvait bien ressembler ; j'étais même sous le choc que j'en ai directement discuté avec Rebecca qui couvrait l'affaire Weinstein et se sentait impliquée pour la cause féminine. Une distance s'est placée entre ma femme et moi, distance qui n'a pas été aidée par nos caractères respectifs, et le schisme s'est aggravé. La procédure de divorce fur entreprise, celle que je connaissais déjà même si cette fois-ci je n'étais plus vraiment d'accord d'aller à la signature. L'influence de Rebecca était aussi forte que la mienne, voire même plus, alors je me suis résigné. Elle voulait sauver son image, quitte à revenir sur cette décision d'ici quelques années. Sauf que me voilà à nouveau divorcé depuis six mois et que je noie ce procès pourtant gagné face à cette fille qui aura eu raison - à défaut de mon compte en banque et de mon honneur - de mon mariage qu'elle aura foutu en l'air comme moi je lui ai brisé son rêve d'Hollywood. J'ai bien tenté de raccrocher avec Rebecca, mais l'histoire est encore trop fraîche et elle n'a pas caché que le jugement rendu peut très bien avoir été l'objet d'arrangements entre les parties. Alors je retourne une fois de plus dans ce bar, avec les autres agents et le service juridique de l'agence. Et j'écoute encore cette voix angélique qui m'apaise et me berce d'illusions. Cette jeune chanteuse, à quelques semaines de fêter ses 18 ans, a du potentiel. Elle a quelque chose pour percer, ça crève les yeux. Et elle ne se plaint pas de ma présence malgré ce qui m'a été reproché à tort. Elle ne me juge pas, elle est légère, elle me laisse l'approcher et poser ma main sur la sienne lorsque je veux lui offrir un verre à la santé de son talent. J'oublie presque tout ce qui a dérapé en l'écoutant et en la regardant ... et je me rêve, à désormais quarante ans, de pouvoir fasciner une femme aussi jeune et pétillante qui n'a pas le bras bien long pour gravir les échelons dans la musique. J'ai tellement d'ambition pour elle que je veux la mener au sommet de ce qu'elle n'a encore jamais connu. Je me dis que j'en suis capable. Avec un verre de plus, j'en serai totalement capable.

Yeah Geek Power !!!

Pseudo : Wilhelmino Tu as quel âge ? La bonne vingtaine Tu nous a trouvé où ? Mon petit doigt m'a dit Et t'en penses quoi ? Y a de l'attirance dans le coin T'as un autre compte ? Lequel ? Non T'as pas un truc à nous dire hein ? C'est carré

️ Never-Utopia ️ code réalisée par Koalz