" Je donnerai une fin heureuse à mon livre..."

Cesar A. Higgins

❯ FEAT : Henry Cavill.

Carte d'Identitée « Bonjour ! Je m'appelle Cesar Amory Higgins et l'on me surnomme Cesar. Je suis né le 5 mai 1987 à Saint-Hyacinthe au Quebec, ce qui me fait 31 ans proche de mes 32 ans. Je suis un Homme. Je suis Bisexuel et actuellement veuf. Mon principal défaut est d'être Têtu et ma qualité majeure est d'être sociable. » ❯ Métier : Prof de Musique et d'histoire à l'université. ❯ Traits Particuliers : Je ne possède ni tatouage, ni piercing. Mais mon petit plus est surement mon œil gauche et sa double couleur. En effet une partie de celui-ci est de teinte marron, alors que le reste aborde une couleur plus azure. ❯ Classe social : Je pourrais faire partie de la haute société de Manhattan vu la richesse de ma famille et le fait d’être veuf d’un Lieutenant. Mais depuis ma plus tendre enfance mes parents mon éduquer avec les valeurs de la famille et non celle de la richesse. ❯ Groupe : Count On Me ❯ Recensement: Code: • [COLOR=#FF0000][B]Henry Cavill[/B][/COLOR] ♫ Cesar A. Higgins Anecdotes • J’ai peur des ascenseurs et ceux depuis que je me suis retrouver coincé dans un  •L’un de mes vrais frères m’a longtemps fait croire que je faisais partie de l’un des enfants d’accueils  • Je possède 3 frères • Je ne fume pas et j’ai du mal à supporter l’odeur de la nicotine • Je suis gourmand et j’ai du mal à résister aux sucreries • Je suis accrocs aux dessins animés plus précisément les DC Comics et les Disney

ONCE UPON A TIME...

Tu m’avais promis qu’on ne serait jamais séparé, tu m’avais promis qu’on s’aimerait pour la vie et pourtant ce soir et chaque nuit depuis ton départ, je dors seul.  

Je me prénomme Cesar Amory Higgins, mais tout le monde m’appel Cesar. Je suis né au Québec ou j’ai vécu dans la ville de Saint-Hyacinthe, j’ai vécu dans une maison plus que familiale vu que ma famille accueillez d’autres enfants, soit en difficulté, soit abandonner. Ma mère était une femme avec un caractère tremper, bien qu’elle fût d’une générosité de dingue, elle savait se faire respecter. Mon père lui était un homme d’affaire, il rachetait des bâtiments comme des restaurants, des clubs ou autres et son empire fut construit. Mes parents nous ont toujours apprit les véritables valeurs et malgré notre fortune, nous n’avons jamais montrer signe de bourgeoisie dans notre manière d’être. Enfant j’ai toujours connu cette passion pour le piano et à chaque moment de liberté je m’installais derrière celui qui trôner dans la pièce familiale de notre maison. De Mozart à Chopin, j’apprenais de manière rapide, faut dire que j’avais un super prof de piano et il disait toujours à mes parents que j’avais l’oreille digne d’un grand virtuose.

En vieillissant j’avais intégré une célèbre académie d’art et de la scène loin de mon Québec natale, j’avais atterri en Amérique, plus précisément à New-York et j’avais le mal du pays. Moi qui adorais le calme et la nature de ma ville, je me retrouvais entourer de building, d’une circulation abusive et mise à part Central Parc, nous étions loin de la végétation et le coter serein de Sainte-Hyacinthe.  J’étais un élève brillant, il était rare que je participe aux activités nocturnes des autres élèves, je préférais passer mes soirées dans mon lit à lire des bouquins ou griffonner des partitions. Pourtant il aura fallu qu’un seul soir et ce soir-là en connaissant la suite de notre vie, j’aurais peut-être mieux fait de rester cloîtré derrière mon bouquin, plutôt que de sortir.

Croyez-vous au destin ? Parce que le mien m’a fait connaitre toute sorte de montagne. Une nuit ! Une seule et unique nuit aura changé ma vie. J’avais fini par poser mes bouquins et mes cours pour vivre un peu, acceptant de sortir avec une bande d’amis et je peux vous dire que la vie nocturne à New-York est incroyable, des tonnes et des tonnes de bars, clubs et j’en passe, je savais que j’étais partie pour des heures à être debout, à partager quelques verres d’alcools, de supporter mes potes ivres mort, mais ! C’est la que j’ai croiser ton regard, tu étais là dans ce bar, portant fièrement ton uniforme de soldat, tu semblais seul, je me suis installé à tes coter et ton sourire à fait battre mon cœur, ton regards chaleureux, tu m’as offert un verre, échanger quelques paroles et tu as franchis les portes de mon appartement que je partageais en colocation. Cette nuit-là !  Nos vies avaient changé, la tienne et la mienne. Ton autorité m’aura fait fuit à plusieurs reprises, mais je ne pouvais me passer de toi, quant à toi, tu avais du mal à percevoir ce que je cachais vraiment, j’avais tellement peur de me livrer et pourtant tu t’es battu en brave soldat que tu étais et tu as fini par apprendre à lever le pied et de rêver un peu. Durant tes absences, on passait la plupart de nos nuits au téléphone, tu me conté tes histoires pas toujours des plus joyeuses et tu me demandais les miennes, parfois tu voulais m’entendre jouer du piano et prononcer quelques notes mélodieuses de ma voix et tu finissais par être apaiser.

A la fin de mes études et mon diplôme en poche, je pouvais retourner au Québec, mais c’est avec toi que j’ai voulus vivre, nous avons acheté une maison dans la ville de Manhattan, tu n’avais pas très loin pour te rendre sur ta base militaire et moi j’avais trouvé un petit boulot dans une boutique d’instrument, sur le coter je prenais des cours par correspondance pour devenir prof. Avec le temps et les années, j’ai fini par obtenir un poste à l’université, toi tu avais fini par devenir lieutenant et c’est lors de mes 28 ans que nous nous sommes dit oui. J’étais alors devenu ton mari et toi le mien, notre vie n’était pas celle d’une romance à l’eau de rose, elle était souvent parsemée d’épine et nous avons connu bon nombre d’obstacle et pourtant nous nous en sommes toujours sortie vivant.

Et pourtant il y a peu de temps je t’ai enterré, toi l’homme de ma vie, toi celui ou cette nuit-là tu as fait battre mon cœur comme jamais, toi celui ou tes yeux briller tel un océan d’étoile, toi qui avais cette manière de râler qui ressembler à celle d’un enfant, toi qui avais le don de me faire perdre la raison au point d’avoir envie de te détester, mais de t’aimer à la fois. Tu vois depuis ce jour ou mon portable à sonner alors que je donnais cours, ce fameux jour où j’ai appris que la mort était venue te chercher, toi qui voulais tellement rentrer pour pouvoir bâtir une famille, toi qui chaque soir t’imaginer t’endormir à nouveau contre moi. La poussière, la chaleur et la guerre fut tes dernières visions avant de mourir. Il m’aura fallu une bonne semaine avant de pouvoir récupérer ton corps, ce jour-là ma vie est partie avec toi, élever au rang d’honneur celui que tout bons bataillons reçoivent pour leurs exploits, toi qui as bravé la mort à de nombreuse reprise…. Aujourd’hui tu me laisse seul, seul dans notre maison, seul dans notre lit, je m’accroche aux derniers objets sentant encore ton parfum et souvent chaque soir allonger dans nos draps sans toi, je laisse les larmes couler sur mes joues, je laisse les souvenirs me hanter et je me repasse sans cesse les dernières images de toi. Je sais que tu voudrais que je me reconstruis, mais que serais vraiment ma vie sans toi ? Parfois je m’installe derrière mon piano et je joue les notes de notre chanson, je lève les yeux vers la baie vitré et je contemple nos voisins qui on reprit le cours de leurs vies depuis qu’ils sont venus te rendre un dernier hommage, je regarde leurs enfants courir dehors et j’imagine la famille qu’on a tant rêver… Comment veux-tu que je donne à quelqu’un d’autre nos rêves ? Quand tu as été le seul et l’unique amour de ma vie ?

Yeah Geek Power !!!

Pseudo : JD. Tu as quel âge ? Bientôt 29. Tu nous a trouvé où ? ici. Et t'en penses quoi ? Next. T'as un autre compte ? Lequel ? Aucun pour le moment. T'as pas un truc à nous dire hein ? Yeah c'est fresh ça 8D Mais encore ? *o* I Love Henry

️ Never-Utopia ️ code réalisée par Koalz